Urops s’engage dans la lutte contre la surconsommation et le mauvais usage des antibiotiques. Après une généralisation menée sur l’ensemble de la Métropole, Urops déploie Epid’Météo dans les départements d'Outre-mer pour vous informer sur l'antibiorésistance.
Vous avez la possibilité de vous inscrire gratuitement à notre bulletin hebdomadaire de la où des régions qui vous intéresse(nt) ce qui vous permettra de suivre l'évolution des affections respiratoires ou digestives qui, a priori, ne nécessitent pas la prise d'antibiotiques.
Chaque mardi, grâce au bulletin de votre région, suivez l'évolution locale des affections respiratoires et digestives qui, a priori, ne nécessitent pas la prise d'antibiotiques.
Une vidéo pour rappeler à toutes et tous les bons gestes à adopter : cliquez ici
La dengue est une maladie infectieuse due à un virus, transmis par des moustiques tigres eux-mêmes infectés. La dengue est le plus souvent une maladie bénigne, mais certaines personnes peuvent présenter un fort tableau d’allure grippal avec parfois une éruption cutanée, voire une forme sévère pouvant mettre en jeu le pronostic vital. Il n’y a pas de traitement antiviral spécifique.
Cette maladie sévit plutôt en zone tropicale et inter tropicale, avec des voyageurs rentrant infectés en métropole ; mais, avec l’implantation des moustiques tigres dans 71 des départements métropolitains, le risque grandit de voir la dengue infecter largement les moustiques et devenir une maladie autochtone. De plus, entre janvier 2023 et le 19 avril 2024, le nombre de cas importés de dengue signalés dans l’Hexagone a atteint des chiffres sans précédent : 1 679 cas (versus 131 sur la même période en 2023), dont 82% revenant des Antilles françaises.
Une personne infectée peut infecter un moustique si elle se fait piquer au moment où le virus de la dengue est présent dans son sang ; l’infection est ensuite transmise à une autre personne par le moustique contaminé à l’occasion d’une autre piqûre.
Pour éviter l’installation de la dengue en métropole, il faut donc :
Finalement, où que l’on soit, le mieux est de toujours éviter les piqûres de moustiques !
L'inquiétude nous pousse parfois à demander au médecin de prescrire des antibiotiques à notre enfant. Quand ce n'est pas utile, en croyant bien faire, on lui rend un bien mauvais service. Les antibiotiques, ce n'est pas anecdotique.